
Signes d’un monde qui change,
Projets pour un monde meilleur,
Mouvements qui se dessinent pour demain :
Planète,
Vie en société,
Découvertes et trouvailles...
"L’avenir n’est pas ce qui va arriver mais ce que nous allons faire."
(Henri Bergson)
DEMAIN, IL FERA BEAU…Si, si…
Mai 2025. Je réécris l’introduction de cette rubrique, car les temps ont bien changé depuis sa rédaction, qui date du siècle passé !
"Il est trop tard pour être pessimiste", disait Yann Arthus Bertrand.
Et il n’est pas utile d’être alarmiste. Sans être naïf, ni se voiler la face, ni éviter de dénoncer ce qui doit l’être (ce que je fais dans d’autres rubriques de LARCENCIEL).
Le choix de mes "Traces du futur" sont des traces de changement positif, de mutation même...
Pour les introduire, je commence par emprunter quelques citations de Corine Morel Darleux, dans Reporterre [1]
Comment résister ?
(Corinne Morel Darleux, essayiste : « Trouver la beauté ailleurs »)
- Je repense beaucoup à cette phrase d’Antonio Gramsci [philosophe et politique italien] : “Le vieux monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître, et c’est dans ce clair-obscur que surgissent les monstres.”
– Car que l’on ait prise ou pas, ce sentiment d’un monde qui court à l’abîme, il ne s’agit pas de l’ignorer, mais de ne pas le laisser tout saper. Car le jour où l’on cessera de voir la beauté du monde, alors il n’y aura plus aucune raison de continuer.
– Il n’est jamais vain de s’interposer, de ralentir le désastre, de tisser des réseaux de solidarité : si nous avons échoué à éviter l’ingérable, peut-être est-il encore temps de gérer l’inévitable.
– En fait, curieusement, plus le monde va mal, plus j’y perçois des éclats de beauté à préserver.
"Traces du futur", ou "germes du futur”, est une rubrique tournant autour de la qualité de la vie (déjà là ou en phase d’expérience, d’’alternatives) : qualité des relations professionnelle, de l’école et de l’éducation, de la vie quotidienne, de notre manière de produire et de nous nourrir, de la ville, de la mobilité, de la santé, de la culture et des média, de l’éthique financière,... des relations avec les autres cultures… du sens de la vie…
Ce n’est donc pas n’importe quel futur.
Ni celui des multinationales, ni celui de la finance, ni celui des casseurs [2].
J’y évoque un futur alternatif, celui dont rêvent de plus en plus de gens, au travers des larmes et de la désespérance ambiante. Celui qui se construit petit à petit ici et partout par des utopistes discrets qui, au lieu de râler dans leur coin, mettent la main à la pâte.
Quelques "traces du futur" que j’ai envie de relever, de partager, parmi des centaines d’autres, celles qui me parlent le plus, m’interpellent, m’incitent à m’engager.
* En "tête de gondole" [3] , j’ai mis d’abord (à tout seigneur, tout honneur !) la rubrique PLANÈTE, SOCIÉTÉ PLANÈTE
* Je poursuis par une rubrique "TRANSITION EN MARCHE" qui reprend des petites ou grandes avancées ouvrant de nouvelles perspectives dans leur domaine respectif.
* J’ajoute une rubrique "PRATIQUE ET SOLIDAIRE"
* Ensuite, vous trouverez "Vie en société. SOCIÉTÉ DES HOMMES. Nouveaux enjeux" : santé, travail, famille, culture, loisirs..
* "Les enjeux de la nouvelle économie et de la nouvelle finance..."
* “Les enjeux des NOUVEAUX SAVOIRS FAIRE"
* “MONDE DU TRAVAIL EN MUTATION. Boulot, emploi, métiers… avancées, transitions, mutations”
PS. Il y avait aussi l’aspect ÉCOLE avec “Les enjeux de l’école nouvelle". J’ai mis ces articles dans la rubrique "Réflexions pédagogiques et Education nouvelle" qu’on trouvera dans mon chapitre "MATIÈRE À PENSER"
MOTS CLÉS : Transitions - Pratique et solidaire - Vie en société (santé, famille, travail, culture, loisirs) - Nouvelle économie, éthique financière - Nouveaux savoirs - Travail, emploi, métiers - École.
Note. Dans mes "Arbres de perles" (Pearltrees) :
Le futur... déjà là., c’est le titre auquel je fais régulièrement écho dans mes pearltrees, où j’ai créé une Collection "Traces du futur... déjà là".
[1] en novembre 2024, après la victoire de Trump - https://reporterre.net/Apres-la-victoire-de-Trump-continuer-a-ralentir-le-desastre
[2] et il y a de nouveau casseurs, maintenant : les casseurs de la démocratie et du vivre ensemble - comme à la fin des années 30 (voir Giuliano da Empoli : "L’empire de l’ombre" et "l’heure des prédateurs".)
[3] J’aime bien tout ce qu’évoque ce mot !