Introduction à l’atelier (dispositif de création en petits groupes de trois)

Critère : que l’autre puisse faire quelque chose avec ce qu’on lui a dit.
Donc pas de "c’est super" mais quelque chose qui sert de TREMPLIN.
Aide à encourager.
Ton de la voix bienveillant. Attention au non verbal.
La relance peut être une question.
Etre attentif au fait que la relance s’inscrit dans les valeurs et les objectifs de la personne, et pas dans les miens !
Elle prend en compte le pourquoi on fait les choses (croyances)
IMPLICATION personnelle dans la relance : je m’y investis.
Mais pas d’INTRUSION.
Et en même temps, être sans complaisance. (Exigence).
"Donner à voir" plutôt que "le regard de l’autre sur mon travail”.

Note complémentaire : le Dispositif

Matériel :
Papier craft ou équivalent (A5, A4, papiers blancs ; encre de chine + brou de noix, gouache blanche ; plaquette de calligraphie, Q-tip…
Ciseaux, colle...
1. Cinq minutes de travail graphique (par exemple, sur le thème de "la main").
Cinq minutes d’écriture (sur une seule face de feuille(s),
puis lecture en groupes de trois : les deux autres font chaque fois une relance.
2. On recommence : on varie une seule choses, la couleur, l’outil, le support... par rapport au tour précédent.
3. Idem encore une fois, ou deux fois. (la répétition fait monter la tension et rend les choses plus difficiles !)

Synthèse, sur une feuille A3 :
– à gauche, on reproduit des extraits tels quels de ses textes (découper ou recopier).
– à droite, commentaires : pourquoi on a choisi ces extraits, en quoi on a évolué. Texte mesurant et explicitant les écarts.
NB. Expérience faite, cette étape n’est pas vraiment nécessaire, sauf si on expose ce qu’on a fait.
Si on "donne à voir", trouver un autre dispositif de synthèse personnelle.

"Relevez les découvertes faites au cours de l’atelier". (15 min.)

NB. Pour commencer, chacun écrit ce qu’il comprend ou entend à propos de "carnet de formation" (à garder pour soi, pas d’échange là-dessus).