Préserver la vie sous toutes ses formes sur la planète, c’est aussi associer le souci de justice sociale à celui du réchauffement et des dérèglements climatiques (les mêmes mécanismes économiques et sociaux sont à l’oeuvre, et les plus touchés sont les plus pauvres), de la sauvegarde des écosystèmes et de la biodiversité. C’est aussi, et cela ne va pas de soi, prendre en compte la crise spirituelle qui affecte bon nombre de nos sociétés, conduit à l’isolement, à la solitude, au désespoir et à la guerre sous toutes ses formes.

C’est ce que mettait en avant cet outil de conscientisation que j’ai animé entre 2007 et 2010, et articulant ces trois aspects dans un programme destiné à conduire chacun, chaque groupe, chaque communauté à prendre sa place, aussi humble soit-elle, de façon créative dans le changement qui émerge partout dans le monde, redonne de l’espoir et stimule l’envie d’agir.