Au secours ! le Passé nous rattrape...
Paradoxe : alors que Larcenciel se tourne vers l’avenir, de plus en plus, avec des rubriques telles que "Mutations", ...
Voici que j’inaugure une rubrique BALISES NECESSAIRES, où je compte mettre des événements du passé, particulièrement significatifs et éclairant pour l’avenir de nos sociétés. Mais aussi des liens entre jadis et maintenant, (par exemple "Charlie 10 ans après" comme signes ou esquisse des temps futurs...
• Et pour commencer un échos du film (que je me réjouis de voir, même si ce n’est pas super gai à voir) :
dont voici un échos (les Grignoux) : "Ni chaînes, ni maîtres".
"Un combat aux accents toujours actuels
Même si son récit est ancré au XVIIIe siècle (1759) à l’île Maurice, le titre du film de Simon Moutaïrou résonne comme un cri de ralliement traduisant bien "l’universalité et l’intemporalité de la lutte des êtres humains" pour leurs droits et leur liberté. Un rappel fondamental pour le cinéaste d’origine franco-béninoise."
• Et puis, comment encore ignorer "Les mains coupées" sous la responsabilité de notre roi Léopold II.
Certes, nous n’étions pas nés, mais j’y vois deux leçons :
1. difficile de faire la leçon aux autres, alors que le ver était dans le fruit juste ici chez nous, chez nos chers ancêtres.
2. peut-être des clés pour comprendre l’invraisemblable confusion politique dans la RDC d’aujourd’hui. Au fond, les traumatismes traversent les siècles et continuent leurs profondes imprégnations dans les neurones (les mémoires ancrées dans nos cellules nerveuses) pendant des siècles. On le voit un peu partout où nos divers impérialismes occidentaux ont sévi sur la planète.
Je ne mettrai pas les photos dans Larcenciel, pour ne pas laisser les polluants séculaires imprégner le bleu du ciel. Mais elles sont visibles sur les sites d’origine de mon article.
• Un troisième article qui prend place dans cette rubrique est sans doute plus optimiste ("opti-pessimiste" comme dirait Edgar Morin) : les jeunes 20 ans après Charlie...