Lorsque José Gualinga, du peuple indigène de Sarayaku, nous avait annoncé en 2004 leur intention de créer un chemin de fleurs de près de 200 kms au sein de l’impénétrable forêt d’Amazonie, nous avions eu du mal à y croire. Eux-mêmes ne savaient pas comment ils pouvaient y arriver ! Mais ils prirent la décision d’essayer.
Je vous recommande la vidéo de Jacques Dochamps sur Point Culture Liège [1] à voir directement sur l’arcenciel.