La rencontre avec José Gualinga le mardi 18 décembre 2016 à Liège a mis en évidence un phénomène qui va prendre de l’ampleur : les peuples autochtones comme celui de Sarayaku, qui représentent environ 3 % de la population mondiale, et qui sont menacés dans leur survie quasi partout, sont de fait les gestionnaires de 80 % de la biodiversité sur la planète.
C’est dire si leur existence - leur survie devrait-on dire - est essentielle pour l’avenir de notre planète, et donc pour notre avenir à tous.
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